L'esprit d'une maraude, c'est de prendre l'initiative d'une rencontre.Celle-ci a lieu dans l'espace public (rue,squatt, forêt..). Le contact intervient avant toute demande formulée par la personne, très souvent exposée à des menaces vitales.( faim, soif, affaiblissement )
Un principe guide la rencontre et il est inaliénable. C'est à la personne que revient la liberté de choisir et de déterminer les orientations de sa vie sauf si il y a un risque majeur !!
s'il s'agit de rencontrer, il faut respecter.S'il s'agit d'accompagner, il faut être au service.
Admettre un refus, une opposition même si cela compromet des intérêts propres. Cela peut s'avérer constructif.Cela amène à la création d'une relation de confiance.
La personne pourra consentir à une proposition d'intervention par la suite lorsque celle ci le souhaitera.
Au delà de de ce qui vient d'être dit, il faut créer de la cohérence dans le dispositif et une véritable complémentarité entre professionnels et bénévoles.
Mais de quoi s'agit il exactement ?
Il peut s'agir de renforcer tout au long de l'année la maraude avec un médecin psychologue en relation avec un travailleur social et ou un bénévole.
Il s'agit de partager des valeurs communes et surtout un engagement commun.
Accompagner la solitude,la souffrance sans pour autant soumettre la personne.
Il suffit juste de poser les conditions nécessaires qui lorsque le besoin se fera sentir, créeront un désir, une motivation.
De la simple maraude généraliste avec une vocation alimentaire, nous devons renforcer le dispositif et ne plus gérer simplement la misère....
Du bon usage des maraudes !!
L'esprit d'une maraude, c'est de prendre l'initiative d'une rencontre.Celle-ci a lieu dans l'espace public (rue,squatt, forêt..). Le contact intervient avant toute demande formulée par la personne, très souvent exposée à des menaces vitales.( faim, soif, affaiblissement )
Un principe guide la rencontre et il est inaliénable. C'est à la personne que revient la liberté de choisir et de déterminer les orientations de sa vie sauf si il y a un risque majeur !!
s'il s'agit de rencontrer, il faut respecter.S'il s'agit d'accompagner, il faut être au service.
Admettre un refus, une opposition même si cela compromet des intérêts propres. Cela peut s'avérer constructif.Cela amène à la création d'une relation de confiance.
La personne pourra consentir à une proposition d'intervention par la suite lorsque celle ci le souhaitera.
Au delà de de ce qui vient d'être dit, il faut créer de la cohérence dans le dispositif et une véritable complémentarité entre professionnels et bénévoles.
Mais de quoi s'agit il exactement ?
Il peut s'agir de renforcer tout au long de l'année la maraude avec un médecin psychologue en relation avec un travailleur social et ou un bénévole.
Il s'agit de partager des valeurs communes et surtout un engagement commun.
Accompagner la solitude,la souffrance sans pour autant soumettre la personne.
Il suffit juste de poser les conditions nécessaires qui lorsque le besoin se fera sentir, créeront un désir, une motivation.
De la simple maraude généraliste avec une vocation alimentaire, nous devons renforcer le dispositif et ne plus gérer simplement la misère....
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