
Dies Irae
Un coin de ciel bleu, et puis tout d'un coup le ciel s'assombrit. A chaque chute il y a une histoire,différente, mais au final ils tombent tous au même endroit !! La rue, celle qui adopte les âmes perdues, sans distinction.
Celle qui vous entraine dans un tourbillon sans fin pour finir par vous broyer. Combien de fantômes faudra t il pour que l'état réagisse ? Combien faudra t il de morts ?
Vous vous retrouvez seul sans emploi, avec un sac plastique, vos souvenirs et comme unique compagnon l'alcool.
Passé l'hiver ils n 'intéressent plus grand monde, point de réinsertion à l'horizon quelques subsides ( RMI ) pour acheter la paix sociale !!
Notre devoir à nous qui ne sommes pas dans ces situations extrêmes, c'est de nous fédérer et de nous organiser.
C'est de faire en sorte que notre liberté de parole ne soit pas confisquée tour à tour par les institutions qui pratiquent le chantage permanent
des subventions, et les fausses promesses pour calmer les plus récalcitrants et faire rentrer dans le rang ceux qui auraient tendance à aller au delà
de la tâche qui leur est assignée. Les bénévoles ont aussi leur mot à dire, calmement mais avec fermeté.
Rien ni personne ne pourra nous empêcher de nous mobiliser et d'agir dans le sens de l'humain. Tenter l'impossible
remettre des hommes et des femmes debout, avec l'envie de se projeter un peu plus loin dans l'avenir. Mieux prendre en compte les personnes
dans leur globalité. ( esprit et corps ne sont qu'un tout ) Soigner le corps sans s'occuper de l'esprit, serait une erreur fatale.
Et nous risquerions d'épuiser l'énergie qu'il nous reste. Prendre la personne dans sa globalité c est le défi qui nous est proposé. L'humain, rien que l'humain uniquement lui dans tout sa dimension !!
total soutien je te met sur mon blog
RépondreSupprimerhttp://www.prophtiereconciliationdesnations.blogspot.com
Bonsoir,
RépondreSupprimerCette article est bien rédiger, j'aime beaucoup car c'est une vérité bien écrit !